Une war totalement improvisée; un Optimates qui nous aborde pour faire un duel, et nous voilà partis pour une bataille haletante...
Bears VS Optimates FriarTuck: Byzance
DoctorEvil: Mongols
Cairbre: Maures
Gate: Egypte
La "meilleure" team française (selon leurs dires
) face à apparemment la meilleure team argentine (toujours selon leurs dires
); le duel allait être difficile...
A notre décharge, nous partions déjà avec deux malus importants: le fait qu'on se batte sur Arsouf, qui compte, il me semble, comme une carte ensablée -et donc, donnant un avantage aux troupes désertiques qui sont légion dans les rangs ennemis-, ainsi que le fait qu'ils étaient su rla parti esupérieure de la carte: dès le lancement de la partie, nous recevâmes des tirs d'Archers du désert, qui fauchèrent nombre de ... paysans
Après un "Qu'importe du vulgaire péon!" réciproque, moi et Doctor décidâmes de tenir le duel de tir, en infligeant le maximum de pertes grâce à nos archers montés... les miens étant en infériorité numérique, je restais prudemment sur ma ligne, mais ceux du Doc firent un joli carnage dans les rangs Maures. Toutefois, nos pertes étaient bien plus grandes que chez l'adversaire...
Néanmoins, d'habiles manoeuvres de cavalerie des Bears permirent de revenir à un statu quo, chose qui força nos adversaires à charger... Ils en mangèrent leurs casques: si nous étions légèrement inférieurs sur le plan du tir, nos troupes étaient bien meilleures au corps à corps; nos homologues Argentins avaient basé leur jeu sur le moral, aussi bien sur les troupes que sur les généraux; mais ni l'une ni l'autre des tactiques ne marchèrent:
-nous n'avions pas changé d'un iota notre tactique de duel de tir;
-les Naffatuns et les Chameaux des musulmans ne firent aucun dégâts psychologiques, au vu des pertes monstrueuses de leurs frères d'armes.
Les cavaleries avaient perdu leur duel face aux troupes Grecques et Mongoles; l'infanterie fut désarmée par les déterminés Varègues et Vougiers de la Horde; les tireurs, ne servant plus à rien, lancés à l'abattoir dans une mêlée perdue d'avance...
Rapidement, les Orientaux perdirent leurs deux généraux; les menaces psychologiques en fuite, les fantassins entourés, et la cavalerie piétinée, il ne restait plus qu'à se gausser devant le talent bien faible de la meilleure équipe argentine
-Néanmoins, de très fair play adversaires, sauf à la fin, où ils parodièrent Van Strauss dans ses meilleures heures, à faire fuir leurs HA jusqu'aux limites de la carte... dommage, ils étaient par ailleurs très sympathiques
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